Renchin Dorjee Gyari
Peintre tibétain,
Strasbourg
Je remercie et rend hommage à mes maîtres, et les remercie pour tout ce qu’ils m’ont transmis
LOBSANG GYAMTSO, mon oncle
LOBSANG PALDJOR
LOBSANG GYAMTSO
LOBSANG PALDJOR
POCHANG NORBU
SENGYE YESHE
MIGMAR
NYMA du Bhoutan
POTCHANG SERI
GUENANG
GUENDOUNE
POUTSOK
SENGYE YESHE
MIGMAR
Renchin Dorjee Gyari, peintre tibétain, thangkas tibétaines
Renchin Dorjee GYARI est un peintre tibétain, il vit en France depuis 10 ans.
Sa peinture est reconnue pour sa finesse d’exécution, la complexité de son art et le respect de la tradition sacrée. Il peint en pigments naturels, selon les canons traditionnels de l’art des Tangkas.
Renchin est né le 18 mai 1970, au Tibet dans la région du Kham, dans une famille d’éleveurs de Yacks.
A l’âge de 8 ans, il rentre au monastère, Nyingmapa, Senge Gompa au Kham où ses talents de peintre sont remarqués, et il est orienté vers l’étude artistique traditionnelle tibétaine.
Il étudiera ensuite au monastère Nyingmapa Drankhar Gompa (Kham), au monastère Dzogchen (Kham) , au monastère Nyingmapa de Ndo Tashi Gompa dans l’Amdo. Il partira ensuite en Inde quelques temps au monastère Kagyüpa Ripa Barma Samdup, et retournera au Tibet et en Chine.
En 2010, il décide de quitter le Tibet, il vit depuis à Strasbourg.
Au total, il se sera formé à la peinture des thangkas pendant plus de 20 ans avec 17 maîtres.
Il a un atelier de peintre à Strasbourg, où il réalise des Thangkas, certaines sont en vente sur le site, il a une préférence pour le travail sur commande.
Il donne également des cours de peinture à Strasbourg
Une peinture en pigments naturels, selon les canons de l’art des Tangkas
Celui qui après avoir été négligent,
Devient vigilant,
Illumine la terre,
Comme la lune émergeant des nuées
Paroles du Bouddha Ed Albin Michel
Galeries de peinture
« Percevoir signifie toujours percevoir quelque chose. Nous pensons que l’objet de notre perception est en dehors de nous, le sujet, mais ce n’est pas vrai. La perception signifie l’apparition de celui qui perçoit et de ce qui est perçu. La fleur que nous regardons fait partie de notre conscience. L’idée selon laquelle notre conscience serait en dehors de la fleur doit être abandonnée. Il est impossible d’avoir un objet sans un sujet. Il est impossible d’en supprimer un et de garder l’autre. «